El tema principal de mi estudio es: ¿Cómo se transmite la identidad y la cultura? No QUÉ se transmite sino ¿CÓMO?. Para ello debe existir un mecanismo y ese mecanismo, como punto de partida del trabajo de investigación, es casi imperceptible, no se basa ni en discursos ni ideologías, sino en pequeñas «unidades» abiertas de identidad cultural, que a modo de píldoras pasan de persona a persona estableciendo una continuidad, un reconocerse, una transmisión pura y al mismo tiempo adaptada a cada particularidad.
Para estudiar ese proceso me valgo de tres principios, que los considero correlativos:
PARTICIPACIÓN
PERTENENCIA
APROPIACIÓN
Allí donde se rompe la cadena se produce el conflicto y/o la pérdida de la transmisión. Las «pildoras identitarias» necesitan de los tres principios para sobrevivir.
Metología
Principios:
- De-construcción
- La creación de nodos estables de interés y su puesta en relación.
- Orden-desorden-interacciones-organización (E. Morin)
Para ello utilizo el sistema bottom-up.
El updown ( de arriba a abajo) consiste en crear un marco políticamente decidido y correcto que se aplica o cualquier persona y/o situación. Es un sistema de castigos y recompensas profundamente arraigado en el pensamiento monoteísta. Son declaraciones supuestamente universales, que son realmente parciales y particulares geográficamente, absolutamente ethnocentristas.
Resultado de esta metodología es el fracaso histórico y la falta de pertenecía en Europa, con un incremento de conflictos y de la radicalización religiosa, aumento de los guetos y de las identidades excluyentes.
Sin embargo en el sistema bottom-up eliminamos cualquier posibilidad de aplicar los conceptos de integración del otro a unos principios supuestamente generales..
Se crean marcos neutros a medida tras estudiar la composición identitaria original de los miembros de cada grupo, replicando estructos mentales que llevan adheridos a su perfil identitario sin siquiera saberlo (creación de trampas, Oteiza). Creamos un “nosotros”.
Lo presupuesto no existe, sino que solamente existen verdades relativas que utilizamos para analizar sistemas de relación. Creamos estos sistemas de relación que permiten el desocultamiento de los mecanismos identitarios y culturales. Esto se produce a partir “pequeños nada” que son el código transmisible en relaciones algorítmicas.
Referencias
A nivel de estudio la ethnoescenología resulta muy próxima a mi sensibilidad.
La conferencia de fundación de la rama se llevó a cabo bajo los auspicios de la UNESCO, el 3 de mayo de 1995. Las estructuras participantes fueron: Maison des Cultures du Monde, Universidad Paris VIII y La cartucherie.
Objetivos:
– Defender la diversidad
– Forjar un concepto, una idea, un método y reunir lo diverso.
“L’ethnoscénologie étudie les practiques et les comportements humains spectaculaires organisés des divers groupes ethniques et communautés culturelles du monde entier. (…) Sa ambition est comprendre la nature des liens qui unissent en profondeur des formes si diverses (Pradier, 1997).”
Transmisión
» l’étude de la transmission passe nécessairement par l’analyse de ces « mécanismes subtils » qui, presque invisibles, sont à la genèse de toute transmission. Ces mécanismes, on les retrouve le plus souvent « là où on ne s’y attend pas », c’est-à-dire principalement dans les bribes de paroles, les silences, les attitudes non-verbales, les manières d’être, le langage du corps, les expressions affectives et les actions apparemment insignifiantes (Berliner, 2007; 2008; 2010a; 2010b; 2013). Cela me semble exact car, comme plusieurs savants l’ont montré (Austin, 1991; Goffman, 1973; Laplantine, 2003; Wittgenstein, 2004), c’est en effet au travers de ces petits riens, de ces résidus, de ces « pas grands choses » que s’instillent la culture, la mémoire et l’identité ; c’est au travers de cette microsociologie que se joue la part la plus importante du processus de transmission car c’est en elle que se réalise – de manière subtile et presque invisible – l’échange, le transfert d’information et la reproduction du social.»
» Erving Goffman est parvenu, tout au long de son oeuvre, à démontrer l’importance de ces « petits riens » dans la construction du sens social (Goffman, 1973; 1974)»
«Ainsi, une approche multi-scalaire est nécessaire puisque seule une telle approche peut permettre de comprendre etd’expliquer à la fois l’acte de transmettre stricto sensu (approche synchronique) et le contexte (approchediachronique), la niche socio-matérielle dans laquelle viennent se réaliser les interactions opérant la transmission».
Tasia: «Cela étant dit, le plus gros du processus se doit encore d’être abordé et étudié. Ce « plus gros », c’est, paradoxalement, ce plus petit, ce presque rien, qui se joue dans l’interaction (Laplantine, 2003). C’est en effet ce presquerien, ce reste sociologique, ces « bons détails » comme les appellent A. Piette, généralement omis par les études surla transmission, qui m’intéressent ici. Je fais en effet l’hypothèse forte que c’est dans ces derniers que se joue le plusgros de la transmission. Je pense que c’est au travers de l’étude des traces subtiles de l’interaction que se joue – comme en toile de fond – la part la plus importante du processus de transmission. En prêtant une attention toute particulière aux détails interactionnels, j’aimerais donc me pencher sur la question de l’acte de transmettre. Pour ce faire, au visible, j’aimerais substituer l’invisible (ou le quasi-visible) ; aux dits, les non-dits ; au général, le particulier ; à ce qui est a priori transmissible, ce qui se relève intransmissible (ou peu transmissible).»